Frédérique :
Ce matin je n’en peux plus, je souffre le martyre, je n’arrive plus à me concentrer, ma tête est vide au point que je fais des bêtises dans la gestion dont je suis responsable au sein de cette association.
J’ai rencontrée Beat Chapelle, suite à une erreur que j’ai commise sur le bulletin de salaire d’une nouvelle salariée, qui par le plus grand des hasards venait d’être embauchée, poussée par Beat Chapelle. Nous avons sympatysé et c’est ainsi que je suis venue vers la chapelle.
Au départ le premier rendez vous à eu lieu le 20 août 2008 et j’ai trouvé sensationnel de voir comme tout les noms, date naissance, lieux s’enchevêtraient et la façon captivante avec laquelle Beat Chapelle fait découvrir comment ma vie s’articule, me montre mon chemin actuel.
Que de remous, que de merde, que de dégout… vous inquiétez pas, Beat Chapelle surveille mon vocabulaire, les émotions sont à exprimées.
19H30 – Béatrice me fait repenser que je chantonnais dans ma tête « j’ai tout oublié du bonheur » je lui dit que c’est de Jean Michel Schoenberg, elle me demande de chantonner, j’ai du mal à me souvenir et au final je chante et elle insinue « lac majeur » cherche et trouve notre ami « Mort Schuman », hors, juste avant elle insistait avec l’anneau gastrique et de nouveau elle me renvoie vers la vendeuse de chaussures qui m’avait justement envoyé vers la Clinique 59 rue Geoffroy Saint Hylaire à Paris 5eme …….incroyable les fils qui se croisent. Mon passé se mélange avec mon présent je suis donc toute chamboulée par les démarches et les entretiens, donc ce matin j’appelle Beat Chapelle, elle me dit de retéléphoner, un quart d’heure après, je suis de nouveau avec elle et elle me demande d’aller voir ma DRH Frédérique avec les mots suivant : j’ai mal au cœur, la tête qui tourne, je me sens mal (ouille ouille ouille ) j’ai les tripes en compote, j’ai trop peur de montrer ma faiblesse, que je suis un être vivant, je préfère passer inaperçue.
Beat Chapelle me bouscule en me disant qu’elle a un client qu’elle a prévenu de son retard pour me prendre et donc qu’il vaut mieux que je fasse ce qu’elle me demande, souffler, je vous garde au téléphone me dit-elle, vous allez dire vos mots-maux et vous me reprenez ensuite chose vite et bien fait, j’en suis encore sous le choc, sous l’effet du résultat, car Frédérique, ma DRH, me réponds : « tu veux que je t’accompagne ou çà va aller ? », quel choc me tacquine Beat Chapelle, elle me fait raccrocher après m’avoir félicité et surtout démontrer que je me trompais, eh oui, la souffrance est une erreur de croyance ! j’en prends conscience ! OUF.
Beat Chapelle me demande d’envoyer à ma DRH un mail pour la remercier et la prévenir que je suis bien rentrée, je réponds à Béatrice que çà me dérange parce que tout le monde va le lire, aucune importance dit – elle, au contraire…..aih…aih…aih…, nous raccrochons, car j’ai rendez vous avec elle à 18H30 et là elle me demande si j’ai bien envoyé le mail, je lui réponds « non j’ai préféré lui passer un petit coup de fil » excellent dit elle, encore mieux, elle me redit que j’étais réticente d’allez lui dire que j’étais mal et là en direct de moi-même, je vais prendre le téléphone (de voix à voix) dégagée de ma peur, de mon côté je la déteste, « mes félicitations » dit Béatrice.
Au plaisir de vous lire
Marie France