28 septembre 2011,
je rentre en contact avec Béatrice parce que je suis en pleine dépression.
Je souffre d’un mal être depuis plusieurs années dont je n’arrive pas à me soulager.
Je suis une jeune retraitée, j’étais infirmière en psychiatrie, comme dit le proverbe c’est toujours le cordonnier le plus mal chaussé.
J’ai découvert ce forum en tapant « vies antérieures, » sans savoir où j’allais atterrir.
Je suis d’un naturel très empathique, une véritable éponge, pour aspirer les mauvaises ondes, me dit ma meilleure amie qui est née le même jour que la chapelle.
Mes croyances éducatives, en fait, m’enfermaient dans un univers de souffrances.
Comme dit la Chapelle:
« la souffrance est une erreur de croyance, en changeant de croyance, (évidement elle parle du code Chapelle) diminuera progressivement la souffrance » .
J’essaye de suivre les conseils de Béatrice et progressivement je réalise que je me sens mieux.
Elle met le doigt sur la culpabilité que j’éprouve vis-à-vis de ma mère, de mon père, de mes enfants, de la terre entière.
Vis-à-vis de ma mère, qui était alcoolique, j’en étais terrifiée, je pleurais, elle m’égueulait et moi je subissais.
Je lui en voulais de n’aimer que ses animaux.
Or la Chapelle m’expliquât que ma mère devenue impuissante devant l’état de santé pitoyable de son mari,( mon père) buvait, parce qu’elle revivait le même scenario d’impuissance quand son père à elle est décédé.
Les animaux pleins d’amour représentaient l’affection sans limite, et lui permettait ainsi de survivre au quotidien.
J’ai fini par accepter cette vision de la Chapelle et ai fait la démarche de parler à ma mère de son alcoolisme.
Il semblerai que depuis, ma mère se comporte différemment et ne boit plus.
En plus elle a enfin osé tenir tête à son mari, mon père avec mon soutien.
J’ai vraiment le sentiment que tout cela date d’il y a longtemps, alors que tout cela ne fait que quatre mois que j’ai commencé cette thérapie.
Je ne suis plus dans la complainte mais dans l’action dont voici les dernieres en date.
J’ai le sentiment de les effectuer avec plaisir, évidement je me sens légère, rajeunie, libérée d’un poids, surtout celui de la culpabilité.
J’ai osé moi aussi tenir tête à mon père, qui m’engueulait parce que les choses n’étaient pas faites à son goût.
Il est du genre renfermé, casanier.
Mes dernières démarches :
La chapelle m’a poussé à vendre ma maison, pour aller vivre mon rêve que je croyais inaccessible, car je ne m’en donnais pas l’autorisation, enfermée dans mon mental avec les croyances éducatives qui me culpabilisaient.
OUI ! Je vends ma maison, je l’affirme, tout haut et j’en ai trouvé une, à acheter, mon coup de cœur (je n’arrêtais pas de dire à Beatrice : je trouverai jamais de maison qui me plairait, elle m’a secoué beaucoup secoué !!) en 3 semaines de temps.
Je suis descendue en Vendée le 30 janvier 2012, pour aller chez mes parents une semaine et en profiter pour visiter 3 maisons.
Le 2 février, fête de la chandeleur, avec ma meilleure amie Anne-Claire, nous visitons les 2 premières maisons qui ne me plaisent pas du tout et la troisième, c’est le coup de cœur, c’est la bonne !
Ce qui est intéressant, c’est que cette maison donne dans la rue du Pontreau.
Or le Pontreau, c’est aussi le nom du lieu dit où vivent mes parents à 65 kms de là.
La maison valait 165000€, je réussi à la baisser à 160000€.
97 m² au rez de chaussé, plus sous sol total dont un atelier-chaufferie, garage, buanderie et un studio de 28 m² indépendant, à 2 kms de la ville.
Depuis que j’ai dit à ma mère qu’elle buvait, j’ai changé de comportement, je sens bien que je ne suis plus dans la complainte.
Aujourd’hui je suis active, maitresse de ma maison, j’ai lessivé ma cuisine, utiliser les services d’une association « servisphere » (conseiller par Béatrice) pour finir ma salle de bain grâce à un pro au chômage pour 450€.
J’ai fait nettoyer ma toiture à bon prix (1500€ au lieu du triple) par un artisan.
Pour faire ces travaux, je n’avais pas l’argent, mes enfants pouvaient me prêter l’argent, mais je pleurais toutes les larmes de mon corps à l’idée de leur parler, convaincue que je les blesserais.
J’ai osé, bousculée fortement par les arguments de la chapelle, et l’inverse s’est produit, et l’effet magique s’est produit .
Petit clin d’œil dans la foulée, le maire de mon village est venu dans mon quartier pavillonnaire, pour me proposer, grâce à une commission de réhabilitation des logements, une aide financière et autre, pour que le quartier ait bonne mine, mais en retour il me fallait rester habiter 6 ans ma maison.
Or je veux aller vivre en Vendée, voyez comme la magie Chapelle se manifeste. Là encore, j’ai le choix de rester …!!!!!!!!
Aujourd’hui je me sens bien, j’ai la joie au cœur, je lis le forum, je m’en imbibe, j’appelle Béatrice régulièrement et j’effectue mes démarches.
Bises
Joëlle