Objet : Question pour un champion :
Qui suis-je ?
Indice : aucun, mais vous allez vite comprendre:
Issu d'une famille hongroise qui a collaboré avec le régime Nazi durant la guerre (vraies archives de la Stasi) et qui a fui la Hongrie pour éviter le jugement pour collaboration.
Dans ma jeunesse je participe à des manifestations contre les étudiants grévistes, à la solde d'un mouvement qualifié de «révisionniste ».
Je ne peux pas être le candidat de la « rupture ou de la « nouveauté »
La politique, j'y suis rentré sous Giscard ! il y a 30 ans ! j'ai été ministre, député, maire, président du conseil général.
Manipulateur ? Je ne le suis pas ! Quelquefois, c'est vrai. Lors de la catastrophe de Tchernobyl j'étais « le » délégué interministériel au nucléaire, qui a mis en place une campagne d'information ou de « désinformation » sur le nuage de Tchernobyl = STOPPE NET ! aux frontières de la France"
J'ai toutefois pris soin de ne pas faire apparaître cet épisode de ma vie politique dans ma biographie officielle sur le site Internet du ministère de l'intérieur.
Ministre de l'économie durant une partie du gouvernement Raffarin, j'ai défendu la rigueur et la baisse des dépenses publiques en profitant de la décentralisation de Jean-Pierre R; "Trahir n'est pas mon problème, seul le résultat compte».
J'ai réalisé l'ouverture du capital d'EDF-GDF et me suis engagé à ce que jamais ces entreprises ne soient privatisées devant les député(e)s représentants du peuple à l'Assemblée Nationale Comment dire... oui, j'ai renié cet engagement en 2006 et voté pour une privatisation de GDF et la fusion de Suez, mais attendez, trop d'ami(e)s de l'UMP voulaient voir la coupe du monde de football en Allemagne offert par Suez, alors bon, je peux mentir un peu;
Ministre de l'Intérieur depuis 2002, j'ai mis en place de nombreuses lois liberticides et j'ai réussi à faire exploser l'insécurité (ce qui a permis à LE PEN d'être au second tour).
Je suis indirectement responsable du déclenchement de la révolte des banlieues en 2005 par ma politique répressive et des propos qui auraient été insultants envers les jeunes habitants de ces banlieues ? FAUX, enfin bon : oui j'ai affirmé que les policiers n'étaient pas en cause; bon, un
enregistrement prouve le contraire et alors ? Ils sont mis en examen ? No comment !!
J'ai mis en place la loi CESEDA qui organise l'immigration choisie au profit des capitalistes et j'ai mené la chasse aux enfants en les expulsant, avec parfois des séparations; ce n'est pas grave, ce sont des étrangers : des gens du continent Africains ;
J'ai fait obtenir la légion d'honneur à un de mes amis qui se trouve être un maire d'extrême- droite ayant été condamné à plusieurs reprises pour incitation à la haine raciale.
Mais bon, il n'a pas mis le bras droit en avant et fait « Sieg Nico »;
D'ailleurs, mon plus proche conseiller politique, « Patrick Devedjian » est l'un des membres fondateurs d'Occident, ancien groupe d'extrême droite terroriste et antisémite.
J'ai repris l'un des slogans de l'autre J-M Lepen « la France, tu l'aimes ou tu la quittes ». Manger dans l'assiette pourrie du voisin, je m'en fous, seul le résultat compte.
D'ailleurs je peux me vanter d'avoir la sympathie de l'électorat du Front National.
Je suis un fervent partisan des Etats-Unis, de George Bush et les néoconservateurs américains m'apprécient beaucoup (soutien écrit).
Je suis pour la guerre en Irak et je suis venu apporter mon soutient à mon ami George Bush. Je me suis fait photographier lui serrant la main (photo qui rappelle la sinistre poignée de main entre Pétain et Hitler) et, pour paraître plus grand, j'ai fait modifier cette photo (pratique qui rappelle les modifications de photos dans un but de propagande réalisées par Staline et Mao Tsé Dong).
Lors de l'affaire Clearstream, j'étais au courant dès le début que mon nom était présent dans les listings, liste que j'ai eue en main propre; mais j'ai laissé faire dans le but d'apparaître comme une victime, cela gagne de la sympathie dans l'Audimat.
J'ai déclaré que je souhaitais voir « pendu à un crochet de boucher» ceux qui ont mis mon nom sur les listings.
Bon, une phrase empruntée à une référence :
Hitler lui aussi voulait voir « pendu à un crochet de boucher » ceux qui ont organisé l'attentat manqué contre lui;
ceci est aussi véridique que le reste !
Il y a quelques mois, avide de prestance, j'ai dévoilé à la T.V. qu'une opération d'arrestation de terroristes allait avoir lieu, ainsi j'ai risqué de faire échouer cette arrestation;
Lors d'une visite « électorale » en Corse, à vos frais pauvres contribuables, j'ai utilisé pour moi le seul hélicoptère de l'île.
Et Chirac l'a fait aussi; cependant, un enfant s'est gravement blessé le même jour en randonnée et il est mort (information de Corse matin), il n'a pas pu être emmené aux urgences à temps, j'avais le seul hélicoptère de disponible : une vie pour un peu d'arrogance; facture 1 000.00 euros HT/par heure.
Je suis, je suis :
N.S.
Son nom est impossible à écrire : trop de honte sur lui.
Seuls 4.5% de la population est au courant, avec l'aide d'Internet, près de 40% le seront avant l'élection. NON il ne passera pas !!!
Dans le dernier Charlie hebdo (en vente jusqu'à demain), l'article « Sarkozy fait se marrer les Hongrois » nous apprend de bien belles choses sur notre petit grand-homme-que-le-monde-entier-nous-envie.
Lancés dans une grande enquête d'investigation, les journalistes de ce prestigieux hebdo sont allés voir les ressortissants hongrois vivant dans notre beau pays afin de trouver la réponse à cette épineuse question : que signifie « Sarkozy », notre héros étant, comme chacun sait, d'origine magyare.
Eh bien, la réponse n'est pas piquée des hannetons.
On apprend d'abord que son nom se prononce « char-kö-sy » en hongrois et signifie littéralement « dans la boue ». il proviendrait de la ville hongroise de Sarköse, bâtie effectivement sur des marécages, le « y » final indiquant une origine noble (son nom complet est en fait Sarkozy (de) Nagy-Bocsa).
Si son papa n'avait pas quitté la Hongrie en 1946 ou 1947 lors de l'instauration du régime communiste, notre phare de la pensée serait peut être aujourd'hui un hobereau hongrois vivant confortablement des revenus de son domaine ; dès lors, on comprend mieux qu'il ne soit que modérément gauchiste, sauf quand il s'agit de faire référence à Jaurès et Blum dans le vain espoir de récupérer quelques voix à gauche;
Mais ce qui fait le plus marrer les Hongrois interrogés, c'est la prononciation de son nom à la française : « Sar-ko-zy ». En effet, le phénomème « Sar » signifie « merde » en hongrois (qui s'écrit en fait « szar »).
Et l'on apprend que « Sarkozy » prononcé à la française, signifie littéralement « dans la merde » en hongrois;
Véridique !!
De là à dire que si notre idole accède à la magistrature suprême le 6 mai prochain, ce seront quelques millions de personnes; Français et étrangers; qui seront « Sarkozy » jusqu'au cou;
A faire suivre……..
fanfan la tulipe
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